Qui
sommes-nous ?

La Fédération des Étudiants Libéraux est l'une des principales organisations de jeunesse au sein de la communauté francophone et reconnue par la Fédération Wallonie-Bruxelles. Elle est ainsi présente sur la majorité des campus étudiants de l’enseignement supérieur, directement ou par le biais de l’une de ses sections.

Rejoignez-nous !

Qui administre
l’association ?

Annuellement, l’Assemblée Générale des Étudiants Libéraux procède à l’élection d’un Comité chargé d’administrer la Fédération. Cette petite équipe, composée d’étudiants issus de la majorité des sections de la FEL, a pour mission de gérer, stimuler et coordonner l’action quotidienne de la Fédération. Le bureau politique des Étudiants libéraux est, quant à lui, le principal lieu de débat et de réflexion des Étudiants libéraux. Y siègent avec le Comité, tous les présidents et secrétaires politiques des sections locales de la FEL ainsi qu’une série de délégués désignés pour traiter de thématiques particulières.

 

Conseil d'administration

Qui encadre
l’association ?

Staff

Nos valeurs
  • Responsabilité

    Favoriser une citoyenneté active et inciter le citoyen à prendre part à la vie publique. Récompenser le mérite et la prise de risques. Concilier développement économique et respect de l’environnement.

  • Liberté

    Reconnaitre à tout être humain le droit de s’exprimer, d’entreprendre, d’accéder à un mieux-être social et culturel, de valoriser sa créativité et ses compétences dans un cadre démocratique.

  • Progrès

    Améliorer le niveau et la qualité de vie par le développement économique, social, culturel et scientifique. La liberté d’expression et d’entreprise, l’égalité des chances, l’accès à la culture et à l’enseignement participent de la définition du progrès.

  • Solidarité

    Promouvoir l’égalité des chances avec le respect des libertés et différences. Disposer d’une politique de santé « accessible à tous » et renforcer le rôle de l’enseignement en tant qu’outil de citoyenneté.

L’histoire
de la FEL

Les premiers étudiants libéraux

Les Étudiants Libéraux sont apparus quelques années seulement après la création de la Belgique. Fondé au cours de l’année académique 1835-1836, le Cercle des Étudiants Libéraux de l’ULB constitue le premier cercle étudiant de l’Université libre de Belgique (depuis, de Bruxelles), ainsi que la première association politique libérale du pays. Le Parti libéral n’est fondé que 10 ans plus tard.

L’émergence des Étudiants Libéraux flamands

Le début de XXe siècle voit naître les Etudiants Libéraux flamands (Liberaal Vlaams Studentenverbond), à Gand en 1930 puis à Bruxelles en 1937. Comme leurs pendants francophones, ils constituent les plus importantes associations politiques sur les campus. Les Etudiants Libéraux francophones et néerlandophones connaîssent durant l’occcupation allemande de 40-45 une période difficile. Certains d’entre eux rejoignent la résistance, comme au sein du Groupe G à l’ULB. Les liberale studenten éditent un journal clandestin (Den kleinen Belg). Ces actes antifascistes aboutissent à la déportation de certains étudiants libéraux, comme l’ancien président Frans De Hondt.

La Fédération belge des Étudiants libéraux

Avec la naissance de nouvelles sections, à Namur, Louvain, Anvers, Mons et Courtrai, les Etudiants Libéraux de tout le pays se rassemblent. La Fédération belge des Etudiants Libéraux (FBEL) est née ! Elle joue notamment un rôle important au sein du Parti libéral, également encore national. Les Etudiants Libéraux se caractérisent ainsi, vis-à-vis du PLP, par leurs impulsions idéologiques, leur esprit naïf, leur attitude critique et leur culture du débat.

Cette union ne durera qu’un temps. Début des années ’70, la FbEL se scinde alors que l’aile néerlandophone, autour d’un certain Guy Verhofstadt, entend donner un ton plus régional au discours politique des Etudiants Libéraux. Cette époque sonne également le glas d’un parti libéral unitaire.

La Fédération des Étudiants Libéraux

C’est dans un contexte linguistique hétérogène que les Etudiants Libéraux des campus francophones se retrouvent au sein de la Fédération des Etudiants Libéraux (FEL), fondée par l’ulbiste Willem Draps, en 1974. Alors que Mai ’68 aura regretté le silence des étudiants libéraux ; attitude qui leur vaudra l’étiquette de « fils de riches » et une certaine démobilisation dans les rangs libéraux, les premières années de la FEL sont placées sous l’action et le combat contre les idées marxistes. La guerre du Vietnam a eu pour conséquence une opposition souvent fort virulente entre les étudiants communistes et les étudiants libéraux. La lutte est tellement importante que les étudiants libéraux sont bientôt considérés comme des « révolutionnaires » refusant le joug des dictatures communistes. Les étudiants libéraux s’engagent également dans de grandes questions de société très philosophiques. Ainsi, ils militent notamment pour le droit à l’avortement ou celui de l’euthanasie. Probablement sous l’influence des comités du Cercle des étudiants libéraux de l’ULB, la FEL conserve, jusqu’à aujourd’hui, une attitude critique face à l’ouverture des portes du Parti libéral aux milieux catholiques, réorientation idéologique amorcée déjà en 1959.

La Fédération des Étudiants libéraux

Les Étudiants Libéraux ont, au fil des dernières décennies, perdu en force vis-à-vis du parti libéral, au contraire probablement de leurs collègues flamands. La direction du PRL par des hommes forts, la baisse de la mobilisation des étudiants libéraux fin des années ’90 et l’élargissement du parti a placé la FEL en périphérie de leur formation politique de référence. Les Etudiants Libéraux n’en sont pas moins restés un mouvement libéral essentiel, principalement au sein des milieux estudiantins. Ils se sont également caractérisés par leur indépendance vis-à-vis du parti, parfois exercée de manière insolite comme lors de l’accord PRL-FDF-MCC, en 1998, alors que les étudiants libéraux s’opposaient à une alliance avec l’ancien président du PSC.

La Fédération des Étudiants libéraux

Entre 1999 et fin 2001, la FEL est laissée pour morte alors que ses sections sont pourtant particulièrement actives sur les différents campus mais de manière autonome. Face à ce constat, en 2002, les sections de l’ULB et de l’UCL décident la relance de la Fédération. Un nouveau comité est mis en place, présidé par Samuel Wauthier. La FEL redevient rapidement opérative. Depuis 2002, la FEL connait un nouvel envol. Les comités successifs relancent une publication nationale (FEL-direct, puis L’Etudiant Libéral), développent de nouvelles sections (Mons, Charleroi et Hautes-Écoles de Bruxelles), organisent des débats propres à la FEL, réagisst par voie de communiqués de presse sur l’actualité.

De 2003 à 2006, la Fédération est présidée par Gauthier Calomne, ancien président des étudiants libéraux de l’ULB. La FEL redevient alors le lieu essentiel de réflexion, particulièrement progressiste, des étudiants libéraux. Alors qu’elle fête son trentenaire, la FEL adoptera le slogan « La liberté garde des idées », signe sans conteste de sa volonté de reprendre une place prépondérante dans les débats de société, celle des Etudiants Libéraux.

La Fédération des Étudiants libéraux

Au cours de l’année 2009, le président Mathieu Raedts développe une grande campagne sur la qualité de l’enseignement supérieur, baptisée « Plan Q » pour « Plan Qualité » ; ce ne sont pas moins de dix « commandements » qui y sont développés pour tendre vers un enseignement de haut niveau, adapté aux besoins des étudiants ainsi qu’à la réalité du terrain et qui, évidemment, améliore la vie estudiantine au quotidien. Une deuxième campagne voit le jour : « Mort aux vaches » qui a pour but de sensibiliser aux questions du réchauffement climatique. Une charte a d’ailleurs été créée afin que les politiques la signent et s’engagent à être vigilants aux enjeux climatiques, à la préservation de notre planète grâce à des politiques climatiques ambitieuses.

 

La Fédération des Étudiants libéraux

L’année académique 2011-2012, Quentin Masson à la présidence de la FEL mène la campagne « Daddy I want that job ». La FEL aborde la question des jobs étudiants, des stages et de « l’après-études » pour donner quelques pistes aux étudiants qui entrent dans la vie active. La deuxième campagne, « Future European Learning », a pour but de rendre l’Europe accessible aux étudiants.

Les années 2012-2013, Omar Marhraoui est le président de la FEL. Trois campagnes sont élaborées : la campagne « Enseignement 3.0 » où la FEL décline en 9 propositions ses pistes de réflexion pour un enseignement à la pointe du futur en Fédération Wallonie-Bruxelles, la très médiatique campagne « Salauds de Libéraux » visant à contrer les clichés et idées fausses attachés au libéralisme et enfin, la campagne « Jeune vote pas ? » qui a pour but d’adresser un message aux politiques quant à l’engagement des jeunes : oui les jeunes iront voter lors des élections et ils le feront en toute connaissance de cause.

En 2014, c’est José Vanobost mène une nouvelle campagne sur la liberté d’expression intitulée « Ça te la met mal quand on te la coupe ! » celle-ci est inspirée des évènements de l’époque s’étant déroulés en Turquie et en Ukraine. En mars, le magazine « Libertines », l’ancêtre du « Blue Line », paraît pour la première fois.

La Fédération des Étudiants libéraux

En 2014-2015, Clément Bourdon est élu Président. Le bureau politique a l’idée de se recentrer sur l’enseignement avec une priorité par campus ; c’est ainsi que la première campagne intitulée « Campus story » sera l’occasion pour les différentes sections de collaborer notamment autour des thèmes de la mobilité étudiante, des logements, du refinancement de l’enseignement. Cette fin d’année civile voit également arriver un évènement festif : la FEL a 40 ans ! Ce fut l’occasion pour la FEL de rassembler près de 80 anciens membres du C.A. Enfin, la campagne baptisée « Citoyennement vôtre » porte sur la citoyenneté et l’amélioration du vivre ensemble. En 2016, la campagné « Plan Q » menée par François Lamy voit le jour. Elle a pour objectif d’analyser le décret paysage et de poser les jalons d’un enseignement supérieur de qualité, amélioré des pistes de solutions des étudiants libéraux.

Le président suivant, Cédric Pierre, conçoit une campagne intitulée « Féminisme-Égalité-Libéralisme » ayant pour objectifs de dénoncer les nombreuses inégalités existantes entre les femmes et les hommes quel que soit le domaine mais aussi de développer des pistes de rééquilibrage de ces droits.

En 2017, Laura Hidalgo est la première femme Présidente de la FEL. Il lui tient à cœur de rendre la voix des étudiants libéraux plus forte, leurs valeurs plus visibles et le rôle de la femme en politique plus actif.

En 2018-2019, la FEL est guidée par Laurent Costas. Il a pour objectif de développer encore davantage le volet international, de réécrire une doctrine sur le Libéralisme, et de répondre aux besoins des sections locales en étant toujours plus présent à leur coté mais également en les associant systématiquement aux débats, aux recherches et aux activités. Une campagne sous forme de « Mémorandum » voit le jour, de même qu’une campagne intitulée « Nos clefs pour plus de démocratie ».

 

La Fédération des Étudiants libéraux

En 2019, la FEL alors présidée par Adrien Pironet aboutit à la création de plusieurs projets tels que la campagne « Join(t)s-toi à nous », ou encore la première parution du magazine « Blue Line ». Début 2020, la FEL doit comme tous, faire face à la pandémie mondiale de Covid-19. Lors d’apparitions récurrentes sur les plateaux TV et radio, le président défend les intérêts des étudiants touchés par la crise. Malgré tout, au cours de cette période difficile, le « Blue Line » voit sa quantité de production augmenter au même titre que sa qualité rédactionnelle. Au cours des années 2021-2022, Ömer Candan est le président de la FEL. La campagne « Insécurité sur les campus » vise à sensibiliser et à lutter contre le phénomène grandissant, d’insécurité des jeunes filles sur les campus étudiants.

Découvrez
nos cercles

« ADEL » est en réalité le Cercle des étudiants Libéraux, de Saint-Louis dans ce cas-ci. Nous sommes un des sept cercles d'étudiants libéraux de Bruxelles et de Wallonie, qui ensemble forment la « FEL », Fédération des étudiants libéraux, une organisation de jeunesse reconnue et subventionnée par la Fédération Wallonie-Bruxelles.Alors, qui sommes-nous ? D'abord et avant tout un groupe d'amis qui s'intéresse aux grands enjeux contemporains. Nous défendons, face aux problématiques actuelles, un point de vue qui se veut résolument libéral et progressiste. Mais ce n'est pas tout, loin de là !Se dire défenseur d'idées, c'est bien. Le traduire par des actes, c'est encore mieux ! L'activité de notre cercle tourne autour de trois types d'actions. Principalement, des activités plus « folkloriques » comme des boissons et autres festivités d'étudiants (on est aussi là pour décompresser un peu après tout) ! à côté de cela, nous organisons des événements plus intellectuels et plus politisés, comme des conférences et des débats portant sur des thèmes divers et variés. Et enfin, gardant un peu en tête l'esprit de cercle, l'ADEL assiste le plus souvent possible à des congrès ou prend part à des actions extérieures à l'université en tant que groupe.Voilà pour nous. À ton tour de venir partager avec nous tes idées, tes opinions et autres visions du monde. Nous te parlions plus haut de liberté et de progrès, alors n'aie pas peur de déplaire avec tes idées. " Viens comme tu es ! »
Président :Victoria Prévost
Créé en avril 2015, le CEL ICHEC est la 7ème section locale de la Fédération des Étudiants Libéraux. Elle est présente sur le campus de l'ICHEC, institut qui forme de futurs managers.  
Président :Rachel-Ashley Ngan Yamb
La Fédération des Étudiants Libéraux de Louvain-la-Neuve est la section présente sur le campus de l’Université Catholique de Louvain à Louvain-la-Neuve. Elle anime la vie de son campus en organisant des conférences, des débats et des activités plus ludiques. Elle prend part aussi aux activités les plus connues de l’UCL comme les 24 heures vélo ou la Saint-Nicolas.
Président :Nicolas Haelemeersch
Le CEL Mons recrute ! Contactez Simon Liégeois, le nouveau président du cercle, afin de venir renforcer les rangs des étudiants libéraux sur les campus !    La Fédération des Étudiants Libéraux de Mons (ou FEL Mons) représente les étudiants libéraux du borinage sur les campus montois.
Président :Simon Liégeois
Dure est la vie des jeunesses politiques dans nos universités et hautes écoles namuroises. La CEL Namurois, c'est la volonté, malgré ce blocage, de faire entendre la voix des étudiants parce que l'engagement politique doit être respecté et surtout parce que se mêler des faits de société est un droit !La CEL Namurois te permettra de prendre part à la vie de ton campus mais également de militer pour tes idées. Notre but est d'approcher la politique d'un peu plus près, de découvrir le libéralisme, de prendre part à des débats, de connaître des mandataires et de les interpeller, d'aborder diverses thématiques de société lors de nos conférences ou activités entre membres. Et si tu trouves que tel ou tel sujet devrait être rejeté… n'hésite pas à nous le faire savoir !En tant qu'étudiant libéral, tu as la possibilité de militer pour tes idées, de t'engager dans la société qui t'entoure, de la critiquer et d'agir pour que, demain, celle-ci soit différente. Il n'y a pas de positions de parti ou de sujets qui ne peuvent être supprimées. Fortement impliqué dans les thèmes touchant à l'enseignement, nous entendons pouvoir nous prononcer sur bien d'autres questions. Nous montrerons que tu trouveras au sein des Étudiants Libéraux l'esprit de fraternité qui doit animer notre mouvement estudiantin. Le CEL Namurois est avant tout un lieu où tu aimeras t'investir tout en t'amusant et en élargissant ton cercle d'amis.
Président :Alexandre Libois
Le Cercle des étudiants libéraux de l'Université libre de Bruxelles est un cercle d'étudiants libéraux dans une université créée par des libéraux, quoi de plus normal ? Fondé au cours de l'année académique 1835-1836, le groupe constitue par ailleurs le premier cercle étudiant de l'Université libre de Bruxelles, ainsi que l'une des premières formations politiques libérales du pays, le Parti libéral n'allant être fondé que 10 ans plus tard. S'inspirant des libéraux de l'époque comme Pierre-Théodore Verhaegen, ils contribuent à l'émergence d'un libéralisme progressiste et anticlérical, liés au contexte de la fondation de l'Université du libre-examen. Le Cercle des Etudiants Libéraux de l'ULB reste pendant longtemps le seul cercle politique de l'ULB.Plus de 175 ans, le CEL est resté fidèle aux principes humanistes et libres-exaministes qui ont travaillé à la construction de l'ULB et s'imposent un peu plus chaque jour comme le cercle principal politique modéré, en croissance permanente.Le CEL s'est donné pour mais de faire rayonner un idéal de liberté et de tolérance dans le respect des principes du libre-examen.Le but premier du CEL est de réfléchir dans une optique libérale aux grandes questions de sociétés de ce début de millénaire et de présenter des solutions originales à ces problèmes.
Président :Nicolas Kowalski
Née en 1895, la FELU (ou, pour les puristes, Fédération des étudiants Libéraux Unis) est un cercle politique inter-facultaire de l'Université de Liège, elle reste cependant ouverte à tous les étudiants de l'enseignement supérieur en Province de Liège . De nombreuses personnalités principautaires s'y sont impliquées en 120 ans d'existence.La FELU fait partie de la Fédération des Étudiants Libéraux (FEL en abrégé) une organisation de jeunesse reconnue et subventionnée par la Fédération Wallonie-Bruxelles qui regroupe l'ensemble des cercles d'étudiants libéraux.La défense des valeurs de liberté, de progrès, d'humanisme et de démocratie nous a toujours incontestablement uni mais celle des droits et intérêts des étudiants nous préoccupe tout autant. Le partage de ces valeurs libérales peut prendre diverses formes : des conférences, des débats et des rencontres mais également des campagnes de sensibilisation. Le tout étant organisé par des étudiants, pour des étudiants.En tant qu'étudiant libéral, tu as la possibilité de militer pour tes idées, de t'engager dans la société qui t'entoure, de la critiquer et d'agir pour que, demain, celle-ci soit différente. Il n'y a pas de positions de parti ou de sujets qui ne peuvent être supprimés Et puis, un cercle ne peut se dire fier d'être liégeois s'il ne sait faire la fête dignement, c'est sans aucun doute la raison pour laquelle la FELU organise régulièrement des soirées dans notre mythique Carré.
Président :Marc-Antoine Schellings

Nous
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Fédération des étudiants libéraux - association sans but lucratif

Av. De la Toison d'Or 84-86, 1060 Bruxelles.

Tel. +3225005055

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